Dimanche. 23 h 15. l'heure du crime.
Dimanche 3 décembre à partir de 23h15, pour son retour en deuxième partie de soirée sur France 2, le magazine "Faites entrer l'accusé", présenté par Christophe Hondelatte, s’est placé en tête des audiences de deuxième partie de soirée, en réunissant en moyenne plus de 2,8 millions de téléspectateurs (32,9 % de part d’audience). L'émission a séduit en particulier 38 % des ménagères de moins de 50 ans et 27 % des 25-34 ans. Le magazine enregistre son record d’audience depuis le début de sa diffusion en deuxième partie de soirée le 21 septembre 2003.
Entre "Faites entrer l'accusé" sur France 2 et "Secret d'actualité" sur M6 dans la même case horaire, le crime ("pour de vrai") a maintenant sa place à la télévision française. Il s'agit de la mise en scène de faits divers médiatiques qui le plus souvent reprennent des histoires que l'on connaît déjà, en faisant parler les divers protagonistes des affaires, et notamment des journalistes.
Alors, on se délecte, du fond de son canapé, en cette fin de week-end. Et, bien au chaud sous la couette, on se demande comment on peut tuer ses enfants à bout portant, on s'interroge, avec le présentateur, si le meurtrier est vraiment un meurtrier, ou s'il n'a pas été victime d'une "terrible erreur judiciaire" ? Puis on s'endort, rassuré par son quotidien, finalement très plaisant, surtout lorsqu'on pense à "tout ce qu'on voit à la télé".
Entre "Faites entrer l'accusé" sur France 2 et "Secret d'actualité" sur M6 dans la même case horaire, le crime ("pour de vrai") a maintenant sa place à la télévision française. Il s'agit de la mise en scène de faits divers médiatiques qui le plus souvent reprennent des histoires que l'on connaît déjà, en faisant parler les divers protagonistes des affaires, et notamment des journalistes.
Alors, on se délecte, du fond de son canapé, en cette fin de week-end. Et, bien au chaud sous la couette, on se demande comment on peut tuer ses enfants à bout portant, on s'interroge, avec le présentateur, si le meurtrier est vraiment un meurtrier, ou s'il n'a pas été victime d'une "terrible erreur judiciaire" ? Puis on s'endort, rassuré par son quotidien, finalement très plaisant, surtout lorsqu'on pense à "tout ce qu'on voit à la télé".